La seule existence de technologies suffit souvent à justifier leur diffusion dans la société, puis à dicter les normes sociales, témoigne Olivier Tesquet. Une fois déployées dans l’espace virtuel, celles-ci se retrouvent dans un écosystème d’acteurs de tous type, dont les hackers – les bons, les brutes et les Anonymous -, parfois lanceurs d’alerte, parfois considérés comme justiciers ou comme traîtres, d’après Rayna Stamboliyska. Les risques et l’inquiétude autour de la surveillance généralisée, qui s’appuie que la collecte, le stockage et le traitement massif de données, deviennent le centre du débat politique, constate Antonio Casilli.
Hackers : antidotes à la société de surveillance ?
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