L’ESME Sudria se mobilise pour la réussite des bacheliers « nouvelle formule »

Un programme adapté pour accueillir ces nouveaux lycéens

N’oubliant pas que l’un des principaux objectifs de la réforme du lycée est de faire diminuer le taux d’échec en première année d’études supérieures, l’ESME Sudria, école d’ingénieurs généraliste du Groupe IONIS, s’est donnée les moyens de participer de façon innovante et volontariste à cet objectif national. Elle a entrepris pour cela deux grands « chantiers pédagogiques » :

  • Création d’une « Période Booster », une période d’intégration pour un passage progressif et réussi du statut de lycéen à celui d’étudiant en école d’ingénieur :

Ce booster se déroulera en 3 temps :

  • 1 semaine d’immersion en anglais pour apprendre à se connaître.
  • 4 semaines d’ateliers méthodologiques, de conférences, d’activités de cohésion, de cours de rappel et d’homogénéisation des connaissances et de découverte de l’école.
  • 1 semaine de Créathon ayant comme objectif de « s’inspirer du vivant pour créer son projet étudiant à impact sociétal. Ce challenge sera organisé en partenariat avec les associations makesense et le CEEBIOS. Ce Créathon viendra conclure cette intégration tout en préparant les élèves à la nouvelle Unité d’Enseignement MIR, Méthodes de l’Ingénieur Responsable.

Cette période conçue comme un sas d’entrée dans la vie étudiante, permettra à tous les nouveaux étudiants de l’ESME Sudria, de comprendre les enjeux et les méthodes de la formation, de rentrer progressivement dans le cœur du programme et de découvrir l’école. L’objectif est qu’à la fin de ce booster, chaque étudiant soit confiant dans ses capacités à réussir, prêt à s’engager activement dans ses études et soit préparé aux méthodes d’apprentissage tout en ayant consolidé les prérequis.

  • Création d’une nouvelle Unité d’Enseignement : Méthodes de l’Ingénieur Responsable :

Ce module a pour objectif de développer chez les étudiants des compétences de compréhension, d’analyse et d’optimisation des systèmes technologiques et de leur impact sur l’environnement et la société. Ils devront pour cela mobiliser des connaissances en sciences physiques, sciences du vivant, sciences de l’ingénieur et sciences et société en s’appuyant sur des cours dédiés, sur des ressources numériques et sur des séances de mise en situation. Pour l’évaluation, fini les devoirs surveillés et les épreuves de partiels traditionnels qui ne permettent « que » le contrôle de l’acquisition de connaissances, place à la valorisation des progressions dans l’acquisition d’une grille de compétences.



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